En contemplant amèrement la matière on ne peut plus grise de mon cerveau en ces journées maussades de pluies et de vents, j'y découvre des choses peu reluisantes. Des pensées un peu perdues et des espoirs oubliés, balayés par le temps que j'ai du loupé une fois de plus. Les feuilles slims mortes tombent comme des mouches dans ma recherche désespérée de sommeil et de ce dernier sourire estival volé.
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